Catégories : Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme
il y a 3 ans
Une petite vitrine sobre et opaque, intégrée dans le rez-de-chaussée d’un immeuble cossu, haussmannien, du XVIème arrondissement de Paris. Une vitrine comme tant d’autres et qui, pour tout dire, passe parfaitement inaperçue. Au-dessus de la porte, une enseigne banale, sans fioriture ni autre explication : « Institut F. ». Pas d’autre indication permettant d’imaginer ce qui peut se passer derrière ces murs et ces vitres opaques.
Le passant non averti peut penser qu’il s’agit d’un nouvel institut de beauté, d’un salon de massage, d’un commerce somme toute assez banal, parfaitement à sa place dans ce quartier chic de la capitale. Et ce n’est pas le look ultra BCBFG des deux jeunes femmes qui chaque matin à 11H00 précises procèdent à l’ouverture de la porte de l’établissement qui risque de le détromper. Deux jeunes femmes sveltes et élégantes, l’une blonde et l’autre brune, trentenaires dynamiques et toutes les deux tout à fait attirantes.
Marie et Caroline sont en effet les deux fondatrices et co-directrices de l’Institut F, un établissement probablement unique en Europe (à moins qu’en Angleterre qui dispose d’une longue tradition fondée sur le châtiment corporel, cette idée ait germée dans quelques esprits audacieux …) Elles ont respectivement trente-quatre et trente-six ans. Elles sont toutes les deux mariées et ont chacune trois e n f a n t s qu’elles ont élevés avec rigueur et bienveillance. De leurs expériences d’épouses et de mères de famille, elles ont acquis des convictions et des principes intangibles qu’elles souhaitent mettre en pratique, partager et peut-être aussi faire partager.
C’est ainsi qu’ensemble elles viennent de créer une sorte de start-up d’un genre nouveau : l’Institut F. Un lieu qu’elles ont souhaité sans ostentation mais bien équipé. Un comptoir d’accueil en bois blanc, sobre avec, soigneusement rangé sur un présentoir élégant en plexiglas une plaquette de présentation des prestations de la maison. Une salle d’attente, elle aussi sobre, avec des fauteuils en cuir confortables permettant justement de se plonger dans la lecture de cette plaquette remise à l’entrée. Plus loin, au fond du couloir deux portes donnant sur deux pièces distinctes. Chaque porte fait l’objet d’une protection en cuir capitonnée destinée à isoler les lieux des oreilles indiscrètes. Voilà la première caractéristique qui peut surprendre le visiteur. Que ce cache-t-il derrière ces lourdes portes ?
Chacune des deux pièces sont aménagées de manière identique, simple avec une lumière banche à l’intensité réglable sur la simple pression d’un interrupteur. Au fond de la pièce, un bureau moderne parfaitement rangé sur lequel ne figure aucun dossier, aucun papier, pas l’ombre d’un stylo, d’un ordinateur ou d’un téléphone. Juste une longue règle plate en bois. Un drôle de bureau pour travailler…
Deux chaises et un petit canapé en cuir forment l’ensemble du mobilier complété par un grand porte manteau et … un meuble original en forme de cheval d’arçon, un meuble dont la destination ne saute pas aux yeux, aux yeux non avertis tout du moins. A priori rien de très extravagant sauf à remarquer sur le mur central de chaque bureau une brande barre de bois sur laquelle sont pendus des instruments qui ne laissent guère de doute sur leur destination : deux ou trois martinets de différentes tailles, deux cravaches, un long fouet tressé, deux cannes en rotin et un paddle en cuir noir. Un décor pour le moins surprenant, à moins qu’il ne s’agisse pas d’avoir placés ces instruments-là juste pour constituer un décor ! En tous cas, nous ne sommes donc a priori pas dans un Institut de beauté ou dans un salon de massage… en tous cas pas dans un commerce très traditionnel.
Pour vraiment comprendre ce qui se trame dans cet Institut, il faut donc lire attentivement le document de présentation remis à tous les visiteurs à l’entrée, à l’en tête de l’Institut F, et c’est le sous-titre composé de petits caractères « F, comme fessée » qui attire alors le plus l’attention. Sur la « quatrième de couverture » du livret, une photo d’un martinet retiendra aussi l’attention du lecteur, alors sans doute intrigué et pressé d’ouvrir le document pour en savoir plus.
La première page du livret se présente sous la forme d’un éditorial dans lequel les deux fondatrices de l’établissement définissent la philosophie des prestations proposées, des prestations entièrement inspirées par Marie et Caroline sur la base de leurs propres expériences familiales et conjugales.
« Après avoir élevé nos e n f a n t s selon des méthodes d’éducations strictes et traditionnelles, nous avons pu constater l’évolution souvent négative des comportements des grands a d o l e s c e n t s et des adultes dès lors qu’ils ressentent un assouplissement des règles qui leurs sont imposées. Renoncer à les fesser sous prétexte qu’ils ont passé l’âge c’est renoncer à les maintenir dans le droit chemin et encourager tous les débordements possibles. Nombre de foyers et de cellules familiales sont perturbées dès lors que la fessée n’est plus appliquée de manière stricte et régulière. A l’inverse, après avoir constaté les évolutions très positives de nos maris respectifs, après qu’ils ont reçu quelques punitions vigoureuses appliqués selon les principes traditionnels, nous avons souhaité faire partager notre expérience et apporter un service efficace à ceux et celles qui préfèreraient faire administrer les punitions que de le faire directement, par manque de temps, d’expérience ou de conviction. Notre Institut est là pour vous rendre service, pour un dépannage occasionnel ou régulier, pour une thérapie de long terme si nécessaire ».
Dès la première page, les choses sont claires. Une fois le décor général ainsi planté, la page suivante édicte quelques principes généraux simples et qui s’appliquent à tous.
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Les bénéficiaires de nos prestations sont des hommes ou des femmes, individuellement ou en couple, nécessairement âgées de plus de 18 ans. L’éducation des e n f a n t s n’est pas de notre ressort.
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Pour chaque prestation, l’accompagnant devra préciser clairement la ou les fautes commises afin que la punition administrée tienne compte de la gravité de la situation. Un descriptif du contexte familial est bien entendu fort bienvenu. Si la personne qui doit recevoir une punition se présente seul, elle devra être muni d’une lettre explicative dûment argumentée.
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Chaque punition est obligatoirement administrée cul nu quel que soit la faute commise et la formule retenue.
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Les punitions peuvent être données sans présence d’autrui ou publiquement devant l’accompagnant voire des personnes extérieures prévenues par l’accompagnant.
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Chaque punition sera nécessairement suivie d’un passage au coin, dont la durée sera fonction de la formule retenue et de la gravité de la faute.
Enfin, sur le modèle d’une carte de restaurant, les pages suivantes décrivent les différentes formules proposées, leur durée et leur tarif.
L’avertissement : Une fessée cul nu, administrée sur les genoux de notre « fesseuse » qui seule pourra décider de la durée de la sanction en fonction de la couleur du postérieur qui lui sera présenté. Durée d’environ 15 minutes (y compris l’indispensable passage au coin)
Comme autrefois : Cette formule est administrée à l’aide d’un martinet ou d’un paddle en cuir. Le puni pourra éventuellement prendre place sur le banc à fesser prévu à cet effet. Selon la gravité de la faute, la séance pourra débuter d’abord par une bonne fessée cul nu sur les genoux de la fesseuse. Durée d’environ 30 minutes (y compris passage au coin)
A l’anglaise : Cette formule diffère de la formule précédente par l’usage du la canne en rotin, d’usage courant autrefois dans les collèges anglais, ou du fouet d’un maniement plus compliqué. Dans le cadre de cette formule, chaque coup administré devra être décompté à voix haute par le puni. A chaque fois, le puni devra ajouter à haute et intelligible voix la phrase suivante : « Merci Madame ». Toute erreur dans le décompte provoquera une remise à zéro du compteur. Cette formule débute obligatoirement par l’administration d’une fessée à main nue sur les genoux de la fesseuse. Durée d’environ une heure (y compris passage au coin)
Pour les abonnements, les stages à la journée, ou les missions particulières : nous consulter. Nous serons heureuses d’étudier chaque cas particulier et de vous proposer des solutions percutantes, adaptées et sur mesures.
Chacun des pages est illustrée par une ou deux photos. Des corps courbés vers l’avant, des fesses tendues, nues et rougies, parfois marquées de longues traces rouges. Des illustrations assez éloquentes. Difficile alors de ne pas comprendre ce qui attend les visiteurs de ce lieu original.
Après avoir parcouru ce petit livret, le lecteur n’a évidemment plus de doutes sur l’activité, pour le moins originale, de l’Institut F. Et on a l’impression qu’une fois la porte refermée… il est trop tard pour renoncer !
Marie et Caroline, les deux animatrices de l’Institut F, sont sûres de l’utilité de leurs prestations. Le projet a été mûrement réfléchi, évoqué à la maison avec l’aide des maris, plutôt bien placés tous les deux pour avoir un avis autorisé... L’expérience vaut décidément mieux que n’importe quelle étude de marché. Une étude de marché assez délicate à mener par ailleurs compte tenu de la spécificité des prestations.
A la maison, la fessée fait partie de mode de fonctionnement quel que soit l’âge et leurs maris ne sont pas les derniers à se retrouver cul nu lorsqu’ils sortent des règles établies. Elles ont parfaitement appréhendé les bienfaits d’une bonne fessée qui permet de remettre les règles de vie commune au centre de la vie de famille et de passer ensuite l’éponge sans ressentiments ni regrets. Après une bonne fessée et un passage au coin pour réfléchir un peu, on ne ressasse pas l’incident, on ne répète pas des reproches en boucle. La faute est purgée.
Mais elles savent aussi, pour avoir tenté d’évoquer le sujet avec des bonnes copines, que beaucoup hésitent à déculotter un grand fils, une a d o l e s c e n t e ou évidemment un mari pour le punir. Sans doute parce qu’il est communément admis, mais à tort, qu’après un certain âge, la fessée n’est plus de mise. Aussi beaucoup de leurs amies n’osent simplement pas contrevenir à cette idée reçue, à ce politiquement correct qui empoisonne la vie. Mais, de conversations en conversations, elles ont aussi vu s’allumer le regard de leurs amies qui n’osent pas mais se laisseraient bien convaincre. Alors, le faire faire par une autre, dans un cadre organisé, serait alors un bon moyen d’en tester les avantages, d’observer une première expérience quitte à fesser ensuite soi-même le sujet récalcitrant.
C’est donc sans surprise que, dès le premier jour, elles voient arriver, quelques minutes après l’ouverture, un premier client. Jérôme est un grand a d o l e s c e n t , probablement d’environ 18 ans. Moins de vingt en tous cas. Il est accompagné de sa mère qui a l’air fort contrariée. C’est Marie qui va recevoir ce premier client. Elle connaît le contexte. Elle a elle-même un grand garçon qui lui a donné, et lui donne encore parfois du fil à retordre et de multiples et fréquentes fessées à administrer. Elle sait s’y prendre avec ce type de client. Elle fait rentrer le jeune Jérôme et sa maman dans un des deux bureaux, s’installe et fait asseoir les deux visiteurs.
Je vous écoute, Madame, signifiant bien que le jeune homme n’a pas la parole, avec un regard ferme qui ne souffre aucune contestation.
D’un ton désa b u s é la mère de famille expose la situation. Je n’y arrive plus. Mon mari non plus d’ailleurs. A la maison, Jérôme ne participe en rien aux taches de la vie de famille. Mettre la table, aider à ranger, sortir le chien… jamais il ne rend le moindre service. Mais aujourd’hui après lui avoir demandé plusieurs fois et sans succès de ranger sa chambre, j’ai craqué. D’autant qu’il me répond à chaque fois sur un ton insolent qui m’est parfaitement insupportable. Je lui ai alors mis le marché en main : le faire venir ici ou je le mets à la porte de la maison. Il a préféré venir ici. C’est à prendre ou à laisser, c’est pour lui le rendez-vous de la dernière chance et il le sait.
Bien. Merci madame. Et vous Jérôme, vous avez quelque chose à ajouter ?
Ben non. Puisque c’est à prendre ou à laisser, finissons-en vite, répondit-il sur un ton blasé qui est un parfait exemple de la description faite par sa maman.
Je vois... En plus de vous faire comprendre qu’il faut ranger votre chambre, je vais devoir vous faire passer l’envie de me répondre sur ce ton. L’insolence est un défaut que notre thérapie sait parfaitement faire passer et vous aller le constater par vous-même.
Vous allez vous levez, retirer votre pantalon et vous présenter devant moi.
Euh..Vous…vous plaisantez, j’imagine ?
Non, j’ai l’air ? Ecoutez mon bonhomme, je n’ai pas de temps à perdre et malgré les apparences vous n’allez pas me prendre longtemps pour une blonde. Dans le cadre de mon activité ici, j’ai peu l’occasion de plaisanter et certainement pas avec vous Donc, soit vous obtempérez sans histoires et sans délai, soit vous quittez les lieux et vous savez que vous devrez quitter l’appartement de vos parents et le confort de vie que vous y avez. A vous de choisir. Je vous donne 30 secondes, pas une de plus. Vous voilà prévenu.
Le ton ne souffrait manifestement guère de contestation !
Quant à vous, chère madame, je préférerai que vous assistiez à la punition. Vous verrez comment la punition est donnée et il ne vous sera que plus facile de la donner directement vous-même.
Impressionné par le ton péremptoire de son interlocutrice, Il n’aura pas fallu 20 secondes pour que Jérôme ôte son pantalon et se présente devant Marie qui, entre-temps avait pris place sur une chaise au milieu de la pièce. Deux doigts sous l’élastique du slip de Jérôme, et le voilà cul nu devant elle. Interloqué, gêné, il essaya de s’y opposer d’une main tremblante.
En deux temps trois mouvements, d’une claque sur les mains du jeune homme et d’une torsion de son bras droit, il se retrouva cul nu sur les cuisses de Marie.
Je vous déconseille la moindre résistance, le moindre geste déplacé. Des jeunes garçons tout nus devant moi dans cette situation j’en ai vu souvent. Ça ne m’impressionne vraiment pas. Et vous comprendrez très vite les conséquences de votre éventuelle résistance. A vos dépends, si vous voyez ce que je veux dire.
Jérôme commença à voir assez vite en effet. La première claque résonna sur le derrière nu du jeune homme qui tenta de se cabrer. Immédiatement une pluie de claques tomba sur ses fesses à un rythme fort et ininterrompu. Dix peut-être même quinze de suite. On se calme ou j’accélère ? Jérôme semblait plutôt calmé. La fessée repris alors à un rythme plus régulier, une claque en alternance sur chaque fesse. Les claques tombaient de haut avec une f o r c e insoupçonnée. Jérôme n’avait sans doute jamais été fessé ou pas depuis longtemps. Ses fesses prirent vite une couleur rouge, vraiment rouge. Marie savait qu’il fallait fesser fort pour marquer l’esprit du jeune homme. La fessée fut magistrale, longue et marquante. Les deux fesses mais aussi le haut des cuisses avaient une couleur uniforme témoignant de la sévérité de la punition.
Et voilà, j’espère que vous vous souviendrez de cette fessée. Soyez sûr que ni votre mère ni moi n’hésiteront à recommencer si nécessaire. Et en cas de récidive vous aurez droit au martinet, le gros martinet que vous voyez là, pendu sur le mur.
- Mais… vous faites quoi là ?
Jérôme s’était relevé et entreprenait tranquillement de se reculotter. Erreur grossière ! Marie l’attrapa vivement par le lobe de l’oreille. Vous allez tout de suite au coin, cul nu et les mains sur la tête pour réfléchir un peu. Madame, je vous offre un café ? La maman de Jérôme semblait en effet complètement déstabilisée par ce qu’elle venait de voir.
Pendant que Marie et la maman de Jérôme devisait sur les bienfaits de la fessée cul nu, Jérôme, plus ou moins discrètement, se massait le derrière pour en atténuer la douleur. Marie, saisit alors la règle plate et sans faire de bruit, rejoint Jérôme pour lui asséner trois ou quatre bons coups de règle, cinglants et marquants. Je vous ai dit de mettre vos mains sur votre tête. Si vous voulez essayer tout de suite mon martinet, continuez donc à désobéir ! » Après la fessée qu’il venait de recevoir, Jérôme avait le postérieur particulièrement sensible. Mais il y avait fort à parier qu’il était aussi ou surtout vexé dans son amour propre. Il lâcha alors prise, abandonna sa dignité apparente et fondit en larme.
Marie avait obtenu ce qu’elle voulait : soumettre ce jeune insolent. C’était une phase indispensable pour lui inculquer ensuite de nouveaux principes. Elle l’autorisa enfin à se rhabiller et en le raccompagnât à la porte de l’établissement lui sourit chaleureusement. Je ne vous dis pas à bientôt… J’espère pour vous. Au revoir.
La porte de la seconde pièce était soigneusement fermée. Caroline y était sans doute en train d’y officier. Les affaires commençaient. Marie en était vraiment convaincu : il y avait un véritable marché de la fessée. Un business d’utilité publique.
Une leçon de fessée
Pendant que Marie punissait son premier client de la journée, le jeune Jérôme, dans le premier bureau, une autre femme s’était présentée à l’Institut F. Une assez jeune et jolie femme accompagné d’un homme, plutôt élégant, et l’air parfaitement détendu. Manifestement un couple du quartier venu non pas par simple curiosité mais dans un but bien précis. Ils pénétrèrent tous les deux dans la boutique d’un air assuré. Le monsieur ne semblait pas du tout le genre de personne qui s’apprête à être puni. Il était là manifestement de son plein gré, peut-être même à sa demande.
La jeune femme s’installa sans attendre dans la salle d’attente et exposa très clairement et d’une voix déterminée à Caroline la situation :
« Nous sommes un couple de jeunes mariés et nous avons du mal à gérer nos disputes Or malheureusement elles sont de plus en plus fréquentes et parfois trop v i o l e n t e s. Je suis notamment très ponctuelle et Paul est presque toujours en retard. C’en est devenu maladif. Je suis très organisée et Paul vit sans montre. Cela crée des tensions parfois beaucoup trop vives, des bouderies qui durent plusieurs jours et cela pénalise fortement notre vie de couple à tel point que je crains pour notre avenir commun. Qu’il soit clair que ma démarche, ou plutôt notre démarche vise d’abord à protéger l’existence même de notre couple.
Ainsi, nous avons pensé que si je fessais Paul à chaque fois qu’il était en retard, il apprendrait vite la ponctualité. Une sorte de thérapie en quelque sorte. Par ailleurs, j’ai le sentiment qu’après avoir ainsi fessé mon mari je lui pardonnerai plus facilement sa faute et que je n’aurai ainsi pas besoin de bouder durablement. Et puis…nous nous sommes confiés à un couple d’amis qui pratique la fessée en couple et qui nous ont conseillé d’essayer. Chez eux, la pratique a été très salutaire. »
A la surprise totale de Caroline, Paul pris la parole pour ajouter spontanément :
« Je suis parfaitement d’accord avec l’analyse qu’Isabelle vient de vous développer. Nous y avons réfléchi ensemble. Aussi, je suis tout à fait prêt à m’y soumettre avec toute la bonne volonté possible. »
Caroline comprenait parfaitement l’exposé mais ne voyait pas bien ce qu’elle venait faire dans cette organisation d’un couple manifestement assez lucide sur ses relations et surtout, et c’était beaucoup plus rare, sur les bienfaits de la fessée. C’est Isabelle qui lui expliqua ce qu’ils venaient tous les deux chercher à l’Institut F :
« J’ai essayé de fesser Paul une ou deux fois, mais je ne me sens pas particulièrement à l’aise avec ça. J’ai pensé que vous pourriez me donner quelques leçons particulières sur la manière dont je dois le fesser, sur la position à adopter, sur les instruments, sur l’intensité des corrections. Dès que j’ai appris l’ouverture de votre établissement j’ai tout de suite pensé que vous pourriez m’apprendre à le punir. Une leçon de fessée en quelque sorte. Et Paul, comme il vient de vous le dire, est d’accord pour participer aux travaux pratiques même si, aujourd’hui, je n’ai rien à lui reprocher ! »
La prestation était imprévue mais intéressante. Elle réclamerait sans doute plusieurs séances et Caroline se voyait assez bien dans ce rôle de maitresse … d’école.
« Rien de mieux que des travaux pratiques en effet. Nous allons donc faire comme si Paul était en retard et méritait une première punition. Si j’ai bien compris, il a suffisamment de retard à son passif pour mériter cette punition. Suivez-moi donc dans la salle prévue à cet effet. »
Sitôt la poste refermé, d’autorité, elle prit la veste de Paul pour la suspendre puis sans un mot, déboucla la ceinture de Paul et baissa son pantalon. Puis, attrapant une chaise elle le bascula d’un geste volontaire sur ses cuisses.
Paul n’avait pas eu le temps de protester. Il était stupéfait de la tournure, un peu imprévue, de la situation. Les premières claques, sèches mais pas trop fortes, tombèrent sur les fesses d’un Paul plus décontenancé qu’inquiet. D’autant moins inquiet que ses fesses restaient pour le moment protégées par un joli caleçon à fleurs.
« Leçon n° 1 : dès la faute constatée, la punition doit intervenir le plus rapidement possible, y compris devant d’autres gens éventuellement présents. »
Caroline trouvait Paul bien décontracté… Mieux, elle sentait une érection naître au contact de ses cuisses. Voilà une bonne raison de ne pas traîner, de le remettre dans un contexte de punition et donc de passer rapidement à la phase 2
« Leçon n° 2 : Une fessée s’administre f o r c é ment cul nu. »
Et joignant le geste à la parole elle glissa ses pouces sous l’élastique du caleçon pour le faire descendre sur les mollets d’un Paul qui, de plus en plus surpris, n’eut toujours pas vraiment le temps de résister. Les claques se mirent alors à tomber, plus fortes, très régulières et bien réparties sur l’ensemble de son derrière. L’aspect agréable de la fessée s’estompa rapidement. Dans cette tenue peu habituelle et dans cette position pour le moins inconfortable, Paul commençait à perdre son assurance, à geindre et à gigoter, cherchant à échapper aux claques.
« Leçon n° 3 : Pour gérer ce type de tentative de résistance particulièrement mal venue, deux conseils : augmenter immédiatement l’intensité de la fessée … »
Inutile de préciser qu’au même moment la fessée se fit plus forte, plus rythmée)
« … et si nécessaire passer une jambe par-dessus celle de votre « victime » qui reposera alors sur un seul de vos genoux. »
En effet coincé entre les jambes de Caroline, Paul était condamné à subir. Il serrait les dents pour ne pas pleurer. Il se sentait humilié, il avait mal. Ses fesses, pourtant fermes et musclées grâce à la pratique régulière du sport, étaient maintenant douloureuses. Il comprenait à ce moment que la fessée était une punition. Il était concentré pour essayer de rester digne. Il en avait oublié la sensation agréable du début, l’excitation qu’il avait ressentie lorsqu’il s’était trouvé en contact avec la peau douce et satinée des cuisses de Caroline, une femme qu’il trouvait très à son goût. Mais tout cela était désormais accessoire.
« Leçon n° 4 : La couleur des fesses doit toujours être surveillée. Elle vous donnera une bonne indication de l’intensité de la fessée et de la sévérité que vous avez atteinte. »
Or les fesses de Paul étaient maintenant sérieusement et uniformément rouges. D’un rouge soutenu et chaud. Une vraie bonne fessée qui durait maintenant depuis plus de 5 minutes de manière ininterrompue et rythmée. Caroline savait grâce à cet indicateur qu’elle allait pouvoir passer alors à la phase suivante.
« Leçon n° 5 : La punition ne s’arrête pas d’un seul coup. Il faut un sas de décompression. Paul, vous allez rejoindre le coin les mains sur la tête pour prendre le temps de réfléchir. »
Réfléchir, c’est justement ce qu’omis de faire Paul en répondant de manière péremptoire :
« Mais ça va pas non ? »
Aussitôt, Caroline le saisit par l’oreille et lui imposa de se pencher sur le bureau. Sans autre forme de procès et sans autre explication, le martinet tomba cinq fois durement sur les fesses déjà écarlates du jeune homme qui se mis alors à hurler.
« Voilà, maintenant vous pouvez aller au coin, … à moins que vous ne préfériez que je continue avec le martinet. »
Pendant toute cette séance, Isabelle était restée de marbre, le visage un peu pâle trahissant son inquiétude. Mais, c’est horrible, vous avez dû lui faire très mal. Je n’oserai pas.
« Rassurez-vous, les fesses sont parfaitement adaptées à ce genre de corrections et il s’en remettra. La punition d’aujourd’hui n’est qu’un avant-goût de ce que vous devrez faire en cas de récidive. Car là, vous devrez être beaucoup plus sévère. Peut-être pourrez-vous, dans un premier temps nous l’envoyer à l’occasion de prochains retards intempestifs. La récidive doit toujours être le motif de monter d’un cran. Nous avons ici des cannes en rotin tout à fait dissuasives.
– Je ne sais pas si je vais oser. Ça doit vraiment faire mal.
– Si vous voulez constater par vous-même des effets d’une bonne fessée, déculottez-vous et je vous en fais la démonstration ajouta Caroline sur le ton de la plaisanterie. Vous découvrirez ainsi par vous-même l’effet que peut produire une bonne fessée. Rassurez-vous, c’est inclus dans mon forfait …
– … Euh… merci beaucoup. Je crois que pour aujourd’hui nous allons en rester là.
– Je comprends parfaitement. Toutefois si, à la maison, vous ne vous sentez pas assez à l’aise pour fesser votre mari, revenez tous les deux et cette fois, sous ma direction, c’est vous qui le fesserez. Au prochain retard… revenez avec votre charmant mari. »
..................
Sur le chemin du retour vers la maison, Isabelle réfléchissait à ce qu’elle venait de voir et d’apprendre. La fessée avait manifestement fait son effet. Paul avait quitté son air un peu supérieur et semblait dorénavant plus attentif. Il ne s’était pas plaint et avait accepté la punition, qui lui avait semblée très sévère, sans trop se plaindre. On sentait pourtant bien à sa démarche hésitante qu’il avait mal aux fesses et que la douleur était persistante. Au fond, la fessée pourrait bien s’installer comme moyen de régler leurs disputes au sein du couple. Isabelle se faisait assez bien à cette idée, sans être tout à fait certaine de pouvoir déculotter et fesser son mari elle-même. Malgré sa première visite à l’Institut F, elle ne se sentait pas encore très sure d’elle et capable de passer à l’acte.
Elle réfléchissait à tout cela quand la sonnerie du téléphone de la maison l’amena à quitter ses pensées. C’était la secrétaire du dentiste qui s’étonnait de ne pas voir Paul alors qu’il avait rendez-vous depuis maintenant plus d’un quart d’heure. Un nouveau retard sans doute, la secrétaire en avait hélas l’habitude. La méthode professée à l’Institut F devait manifestement s’appliquer. Isabelle demanda à Paul de le rejoindre dans le salon et après lui avoir exposé la situation elle ajouta :
Je vais te fesser immédiatement puis tu iras vite chez le dentiste. A ton retour tu seras à nouveau puni parce que ce n’est pas la première fois que tu sèmes le bazar dans l’emploi du temps du dentiste. Déculotte-toi immédiatement.
Paul esquissa un sourire narquois et, sans répondre, et évidemment sans obtempérer, quitta la pièce pour aller chez le dentiste. Isabelle était furieuse mais incapable de réagir. Elle resta sans voix, seule et un peu désespérée. Furieuse contre Paul qui s’était moqué d’elle, mais furieuse contre elle-même parce qu’elle n’avait pas su s’imposer. Mise en confiance par le rendez-vous du début d’après-midi, elle téléphona à l’Institut F et il fut convenu d’un nouveau rendez-vous pour le jour même.
De retour de chez le dentiste, Paul n’avait sans doute pas mesuré le désarroi causé à sa femme. Isabelle lui indiqua que cela ne pouvait plus durer ainsi et que s’il refusait un nouveau rendez-vous à l’Institut F et un changement complet de son attitude elle le mettrait dehors de du domicile conjugal. L’effet sur Paul fut immédiat : retour à l’Institut F et immédiatement.
Ils furent à nouveau reçus par la jolie Caroline que Paul trouvait d’ailleurs tout à fait à son goût malgré les motifs qui le conduisait dans son établissement. Elle prit immédiatement les choses en main.
Paul, vous n’avez manifestement pas bien compris la leçon administrée tout à l’heure et vous n’êtes pas encore décidé à obéir aux injonctions d’Isabelle. Vous allez en assumer les conséquences. Vous allez immédiatement laisser Isabelle vous déculotter et vous fesser. A la moindre résistance, j’interviendrai, et croyez-moi, sans la moindre complaisance. En prononçant cette dernière phrase elle tripotait machinalement la grande règle en bois posée sur le bureau. Paul compris qu’il ne fallait pas jouer avec le feu.
Assise sur la chaise installée face au bureau, Isabelle s’attaqua, un peu maladroitement à la bouche de la ceinture de Paul puis baissa le pantalon puis, sur ordre de Caroline le caleçon (cul nu tout de suite avait dit Caroline d’une voix qui ne souffrait pas de contestation). Paul hésitait à se mettre en position sur ses genoux mais le bruit sec de la règle plate sur le bureau le rappela à l’ordre.
La fessée administrée par Isabelle était mesurée, indulgente, trop indulgente selon l’avis de Caroline qui après avoir encouragé Isabelle à accélérer le rythme, pris Paul sur ses genoux : je vais vous montrer ce qu’est une vraie fessée dissuasive. Pas une succession de caresses. Et en effet, Paul en mesura rapidement la différence. Le rythme, le bruit, la chaleur rie n’était pareil. Et la couleur de ses fesses qu’il ne pouvait pas voir témoignait pourtant d’une fessée sans concession. Il se mordait les lèvres pour ne pas geindre. La fierté du mâle dont Caroline savait qu’elle viendrait bientôt à bout.
Lorsque la correction administrée par Caroline prit fin, Paul crut qu’il en avait terminé. Il n’était pas encore familier avec les méthodes enseignées à l’Institut F. Caroline exigea que Paul repris sa place sur les genoux de sa femme afin qu’elle montre qu’elle avait bien compris. Et c’était manifestement le cas. Isabelle avait le sens de l’observation et se montra d’une dextérité très améliorée. Paul encaissait avec plus de difficulté, gigotant, se plaignant de plus en plus bruyamment. Il faut dire que Caroline avait déjà préparé le terrain fessier !
- Bien. Isabelle vous avez fait des progrès. Nous avons puni le refus d’obéissance de Paul. Nous devons maintenant punir son retard chez le dentiste. Et il s’agit d’une récidive. Vous avez eu 30 minutes de retard chez le dentiste, vous aurez 30 coups de martinet. Et comme je vois que vous vous apprêtez à protester j’en ajoute 10 immédiatement ! Penchez-vous en avant, le torse sur le bureau. Pour l’exemple je donnerai les dix premiers, Isabelle se chargera du reste. Et si je ne suis pas satisfaite, je reprendrai à zéro.
Jamais Paul n’aurait imaginé ressentir une telle douleur. Les lanières fouettaient son derrière de manière cinglante, laissant de grandes traînées rouges, irrégulières mais sur toute la surface des fesses et le haut des cuisses. Au premier coup infligé sévèrement par Caroline il eut l’impression de recevoir une décharge électrique. Il ne put retenir un grand cri. Il serrait les bords du bureau pour s’interdire de bouger, ayant perçu les conséquences d’un tel geste. Après 10 coups, très douloureux, c’est Isabelle qui prit le manche du gros martinet. Les premiers coups d’Isabelle étaient sensiblement plus soft, mais petit à petit le rythme et la puissance de la correction témoignèrent du fait qu’Isabelle apprenait vite. Paul suppliait mais encouragé du regard par Caroline, Isabelle restait – cette fois – inflexible.
40 coups plus tard, Paul était très secoué, en larmes, ne sachant plus quelle attitude adopter. Il était vaincu, tellement vaincu que c’est presque spontanément qu’il avait rejoint le coin sans attendre qu’on lui en donne l’ordre explicite. Il savait qu’il était difficile de combattre les mauvaises habitudes mais il était bien décidé à faire des efforts de ponctualité pour ne plus subir de telles punitions. Comme Caroline l’avait pensé il était vaincu, momentanément peut-être mais c’était une première victoire sur Paul, et aussi sur Isabelle. Poussant son avantage, elle ajouta : la prochaine fois, je proposerai à la secrétaire du dentiste de venir vous fesser ici. Après tout c’est elle la principale victime de votre inattention.
Mais Caroline se montra plus machiavélique encore. Sans doute fallait-il l’être pour avoir eu l’idée de créer un tel Institut. Elle avait compris, à travers les regards échangés par le couple, combien Paul aimait son épouse. Elle décida alors de toucher Paul ailleurs que sur ses propres fesses.
Isabelle, en ne réagissant pas lorsque Paul a refusé de vous obéir, en ne le punissant pas sur le champ, vous avez commis une faute. Pour cela vous méritez un avertissement et en guise d’avertissement, je vais vous fesser. Pas trop sévèrement, mais je dois vous punir pour vous dissuader de toute indulgence à l’avenir. Vous allez donc vous déculotter et venir sur mes genoux….
Isabelle, malgré le regard bienveillant et le sourire en coin de Caroline était blême. Paul était lui dans un état second. Il sentait bien qu’il était responsable de cette situation Il proposa avec insistance, et malgré la douleur qui était déjà la sienne, de recevoir la punition à sa place. Caroline venait ainsi de marquer un premier point. Elle prit néanmoins délicatement le bras d’Isabelle, acheva de remonter sa jupe et de baisser la jolie culotte en dentelle qui protégeait à peine les fesses rondes et fermes qui s’offraient à elle. Non… pas cul nu…s’il vous plaît… mais de manière surprenante c’est de Paul que venait cette plainte. C’est Paul qui souffrait plus encore qu’Isabelle et qui regardait les fesses de sa femme comme si on allait abîmer ce qu’il avait, lui, de plus précieux.
La fessée administrée par Caroline fut très indulgente. Mais, peu habituées et d’une jolie peau blanche, les fesses d’Isabelle prirent quand même une jolie couleur rose puis un peu rouge. Paul était au sommet de l’inquiétude. C’est lui qui pleurait tant il se sentait responsable. Il s’en voulait maintenant terriblement. Désormais, il serait certainement beaucoup plus attentif à ne pas être en retard, non plus seulement pour épargner son propre fessier mais aussi, mais surtout pour éviter que sa femme se retrouve dans une telle situation humiliante et douloureuse.
Isabelle avait parfaitement compris l’intelligence de la démarche et se laissait faire. Elle trouvait même la situation agréable, goûtait le contact avec les cuisses de sa fesseuse et se sentait somme toute assez excitée.
En une journée et après seulement deux séances elle avait fait de multiples découvertes sur les bienfaits de la fessée.
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Marie Thérèse est un pure aristocrate, installée depuis son e n f a n c e dans ce quartier chic de l’Ouest parisien. Elle est née ici, s’est mariée ici, vit dans le même appartement cossu qui appartient à la famille de son mari, lui monté à Paris plus tardivement après avoir quitté la propriété familiale et ancestrale.
Seule entorse à sa vie parisienne, Marie Thérèse aura passée quatre années dans un pensionnat anglais traditionnel pour y suivre des études et y parfaire sa connaissance de la langue anglaise. De la langue anglaise bien sûr, mais aussi de l’éducation réputée raffinée de la high society britannique.
C’est là, plus encore que dans sa famille que Marie-Thérèse aura connu les principes de l’éducation anglaise et des châtiments corporels qui y sont attachés. C’est là que Marie Thérèse, a d o l e s c e n t e un peu turbulente, aura appris qu’on peut être déculottée en public, qu’on peut, au milieu de la classe, de la cour de récréation ou du dortoir, tâter du martinet ou recevoir quelques dizaines de coups de cannes administrées sans pitié ni compassion.
Comme toutes ses camarades, elle craignait beaucoup ces corrections administrées séance tenante et qui laissait, sur le derrière comme dans les esprits, des traces durables. Mais comme beaucoup de ses camarades, des années plus tard, Marie-Thérèse ne conservait pas un si mauvais souvenir de ce passage dans ce collège et de ses méthodes d’éducation assez musclées. Elle était même assez reconnaissante à cette institution de lui avoir donné une éducation qu’elle jugeait utile pour le reste de ses jours.
Pour elle, la fessée faisait partie d’une bonne et saine éducation. Elle en était la preuve vivante. Ses trois e n f a n t s, trois garçons avaient été ainsi élevés de manière juste mais sans concessions, fessés aussi longtemps qu’elle l’avait jugé nécessaire. A la maison, le martinet était toujours à portée de main, et la cravache n’était pas juste réservée aux sorties quotidiennes de feu son mari, Jean Eudes, fervent cavalier disparu prématurément.
Au sein du couple, c’est manifestement Marie-Thérèse qui portait la culotte et imposait ses lois. Le collège anglais lui avait forgé le caractère et appris le maniement du martinet. Elle le faisait régulièrement sentir.
Seulement, voilà, le temps avait passé, les e n f a n t s avaient quitté le domicile familial (y ayant été fessés jusqu’à leur départ, c’est-à-dire bien après l’âge légal de la majorité) et Marie Thérèse conservait au fond d’elle-même le souvenir intact de ces corrections si bénéfiques qu’elle avait reçues jeune fille ou administrée dans son rôle de mère. Elle y pensait souvent, avec nostalgie et un brin d’émoi.
On se doute bien qu’une personne ayant habité aussi longtemps dans le même quartier était au courant de tout. L’ouverture de l’Institut F non loin de son domicile ne pouvait passer inaperçue. Sa curiosité naturelle fit le reste et elle ne mit pas longtemps à être tenu au courant des prestations dispensées par les deux jeunes femmes qu’elle avait croisées – et remarquées – à plusieurs reprises. Seulement, elle avait du mal à trouver le motif d’une visite de cet établissement.
A quel titre allait-elle pousser la porte et quelle raison invoquer ? Mais le destin fait parfois le nécessaire. Un matin, elle laissa tomber un bocal de produits de beauté sur le sol en plein milieu de la pharmacie. Le pharmacien qu’elle connaissait depuis toujours vient à son secours pour l’aider à le remettre en place en ajoutant avec un sourire complice. C’est la deuxième fois en deux jours que quelqu’un me le fait tomber. Le prochain coupable, je l’envoie à l’Institut F pour payer sa faute …. Décidément dans le quartier tout le monde commençait à connaître cet institut !
Tout en rougissant jusqu’aux oreilles, Marie Thérèse enregistra la phrase tout en se disant que, puisqu’elle était coupable, elle méritait d’aller à l’Institut F pour se dénoncer et purger sa peine… Voilà la bonne excuse. C’est ainsi qu’après quelques minutes d’hésitation elle poussa la porte pour se présenter à Marie et Caroline :
Voilà, je vous explique... Je vis seule et je n’ai plus personne autour de moi pour me remettre les idées en place quand je fais des bêtises. Or à 55 ans, j’ai encore beaucoup d’occasion de commettre des erreurs, des péchés certes véniels mais qu’une femme rigoureuse comme ne devrait pas laisser passer.
- Vous remettre les idées en place ? interrogea tout de suite Marie
Oui, me remettre les idées en place en me punissant à chaque fois que je le mérite. Evidemment je suis la seule juge de mes propres incartades, mais je suis fermement décidée à ne rien me laisser passer et je veux être punie à chaque fois que je le juge mérité.
Caroline et Marie étaient stupéfaites, interloquées…. Et silencieuses.
- Alors voilà, à chaque fois que j’estimerai avoir commis une faute, je me présenterai à vous et vous déciderez de la sanction à appliquer. J’ai une solide expérience des châtiments corporels et je vous prierai de me fesser, de me fouetter avec vigueur nonobstant notre différence d’âge. Je m’y soumets de mon plein gré. Ah, je vois sur votre plaquette de présentation que vous avez pour principe d’administrer toutes vos punitions cul nu. Bravo, c’est un excellent principe que j’ai toujours trouvé adapté. Vous voyez, nous allons nous entendre.
La situation était tellement surprenante que ni Marie ni Caroline n’arrivaient à articuler une seule parole. Aussi, consciente de l’effet de surprise, Marie-Thérèse repris l’initiative avec le dynamisme et la détermination qui la caractérisaient : Bien je viens de renverser, par inattention, un bocal de produits de beauté chez le pharmacien. Il y en avait partout. Ce n’est pas bien grave, mais j’imagine que vous allez me fesser pour ça évidemment ?
Encore sous l’effet de surprise, Marie pu néanmoins enfin réagir. Reprenant le dessus et sans dire un mot, elle attrapa Marie-Thérèse par le bras et, là, en plein milieu de la salle d’attente, devant Caroline ébahie, elle la courba sur le bras du fauteuil, troussa sa jupe et asséna une première série de claques sur la culotte en coton de sa nouvelle cliente. Clac, clac, clac… voilà que va vous apprendre à faire attention. Puis la déculottant prestement, elle ajouta : Une bonne fessée devant Caroline et peut-être devant d’autres personnes si d’aventure quelqu’un venait à entrer. Marie-Thérèse avait de fort jolies fesses bien galbées et rondes qui prirent rapidement une belle couleur vermillon. A l’issue de cette fessée – qui lui rappela tant de souvenirs – c’est avec les joues de la même couleur qu’elle se redressa, les yeux brillants de reconnaissance.
Marie avait compris ce qu’attendait sa cliente. A la prochaine bêtise, ce n’est pas juste une fessée que vous recevrez : le martinet la cravache ou peut-être même la canne selon ce que vous mériterez. Et sèchement, sans autre forme de procès, elle la mit à la porte.
Sur le chemin du retour, Marie-Thérèse était tremblante et bouleversée. Elle venait de retrouver ces sensations de son a d o l e s c e n c e et le moyen d’expier ses fautes. Elle qui recherchait depuis si longtemps à remettre la punition comme un guide de son existence, elle avait enfin trouvé la solution. Mais elle était tellement ébranlée par ce qu’elle venait de vivre qu’elle se rendit compte, arrivée devant la porte de chez elle qu’elle avait simplement laissé son sac, avec ses clés, dans la salle d’attente de l’Institut, distant de quelques centaines de mètres. Un aller-retour rapide et sans conséquence.
Sans conséquence ?
C’était sans compter sur la bienveillance de Marie qui avait maintenant parfaitement compris que Marie-Thérèse souhaitait être fermement encadrée. Lorsqu’elle avait remarqué le sac oublié, elle avait immédiatement décidé de la suite du scénario. Aussi, la voyant revenir, elle prit l’initiative de la gronder : vous êtes décidément une petite écervelée. Vous oubliez votre sac avec les clés de chez vous. N’importe qui aurait pu vous le voler. Je ne peux pas laisser passer cette incartade. Allez immédiatement dans la pièce du fond, déculottez-vous et mettez-vous en place contre le cheval d’arçon. Une bonne punition avec le martinet va vous faire travailler la mémoire. Allez-y, je vous rejoins.
Quelques minutes plus tard, Marie put en en effet constater la docilité avec laquelle sa cliente s’était positionnée le long du cheval d’arçon. Une position soumise et quelque peu impudique, la jupe soigneusement relevée, la culotte sur les chevilles, les jambes suffisamment écartées pour que son derrière soit cambré, prêt à subir la punition. Conformément aux règles de l’Institut Marie asséna d’abord, à la main, une bonne dizaine de claques sur les fesses déjà rougies par la fessée précédente. Le corps de Marie-Thérèse se crispa tout entier. Puis, comme promis, Marie décrocha un martinet aux lourdes lanières de cuir qu’elle promena d’abord doucement sur le postérieur déjà meurtri. Soudain, elle leva le bras, et sans retenue fit retomber le bouquet de lanière sur les fesses tendues. Marie-Thérèse, cramponnée au cheval d’arçon ne cilla pas. Marie perçu juste un léger gémissement. Une vingtaine de coups de martinet plus tard, le derrière de la punie était cramoisi. Marie-Thérèse ne s’était pas dérobée, se maîtrisant parfaitement. Néanmoins, Marie put clairement distinguer des grosses larmes qui roulaient sur ses joues. La douleur peut-être, l’émotion certainement. Elle n’eut ensuite pas besoin de dire quoique ce soit pour que Marie-Thérèse, qui avait parfaitement intégré le fonctionnement de l’institut s’installa au coin, les mains sur la tête. Une soumise modèle.
Elle fut autorisée à se rhabiller puis Marie la raccompagna à la porte, l’air sévère. Ne vous avisez pas à commettre de nouvelles bévues. La prochaine fois vous aurez la cravache !
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La stagiaire
Nadia était étudiante en seconde année d’école de commerce. L’année ou le stage en entreprise est obligatoire, mais si difficile à trouver. Volontaire et entreprenante, la jeune fille n’a donc pas hésité à adresser de courriers et CV à des centaines d’entreprises parisiennes, privilégiant les toutes petites entreprises. Elle savait, d’expérience, que dans une PME on participait à toutes les tâches alors que le risque était grand d’être préposée à la machine à café dans les couloirs d’un mastodonte du CAC 40.
C’est ainsi qu’elle fut convoquée un beau matin à l’Institut F, dans le XVIIème.
Arrondissement de Paris. Elle n’avait aucune idée de l’activité de cet établissement mais elle était si contente d’avoir enfin une piste positive que c’est avec entrain qu’elle décida d’honorer ce rendez-vous avec Caroline et Marie. Les deux directrices de l’Institut cherchaient justement quelqu’un pour les aider. Le créneau sur lequel elles s’étaient lancées était manifestement porteur. Beaucoup de mamans en proie à des difficultés avec leurs grands a d o s, beaucoup d’épouses souhaitant fesser leur mari sans oser sauter le pas. Les rendez-vous s’enchaînaient et il était temps de passer à la vitesse supérieure. Le CV de Nadia tombait donc à pic.
Malgré son enthousiasme et son optimisme permanent, Nadia fut singulièrement décontenancée par la lecture de la plaquette de présentation de l’Institut F qu’on lui avait remise à l’entrée en attendant de la recevoir. F comme fessée… Voilà qui la troublait. Elle craignait d’être tombée dans un bouge malsain, dans un établissement aux contours licencieux, sulfureux et pour tout dire aux activités clairement identifiées à caractère sexuelles. Les questions se bousculaient dans sa tête et elle hésita à prendre ses jambes – fort jolies au demeurant – à son cou.
L’arrivée, dans la salle d’attente de Marie et de Caroline stoppa net cette éventualité. L’aspect à la fois strict et élégant des deux jeunes directrices, l’ambiance sobre des lieux commença à la rassurer. Les explications très précises des deux directrices achevèrent de la convaincre : Nous administrons des punitions à la demande de parents ou de conjoints qui nous délègue, l’espace d’un instant, leur fonction d’autorité pour régler un problème comportemental ponctuel. La charte de notre maison est très précise et les limites clairement définies. D’ailleurs, dans ce quartier, une activité malsaine serait immédiatement contestée. Or nous croulons sous les rendez-vous. Autant dire, avec un peu d’humour, que nous fessons à tour de bras.
Nadia restait perplexe sur le contour de son job. E n f a n t, elle se souvenait très vaguement d’avoir reçu quelques fessées, mais sans plus. Et depuis la fessée se limitaient à quelques claques reçues ou données dans un cadre plutôt ludiques et excitantes. Jamais pour punir. Elle ne voyait pas bien ce qu’elle pourrait apporter.
Rassurez-vous. Caroline et moi allons consacrer l’essentiel de notre temps à notre clientèle, à fesser et à fouetter ceux qu’on nous amène pour les remettre dans le droit chemin. Mais avoir une assistante va nous simplifier la tâche. Il y a l’accueil pendant nos rendez-vous, l’explication des prestations, la facturation. Evidemment, il importe que vous connaissiez bien nos prestations puisque vous serez à l’accueil. Vous pourrez donc, selon les cas, assister à certaines de nos séances pour vous faire une idée. Nadia avait vu juste : dans une PME on était en général « multi taches ». Elle accepta le job, qui commençait le jour même.
Nadia était naturellement curieuse. Elle venant de passer plusieurs heures à l’accueil, guidant vers la salle d’attente des mères de familles accompagnées de grands e n f a n t s ou de maris à la mine contrite. Elle venait de raccompagner un jeune homme aux yeux pleins de larmes et une jeune fille dont la démarche hésitante laissait imaginer un postérieur douloureux. Elle aurait bien aimé en savoir plus sur ce qui se passait derrière les lourdes portes capitonnées. L’occasion se présenta assez vite, dès ce premier jour.
En fin d’après-midi un jeune homme prénommé Jérôme se présenta avec sa mère. Manifestement des habitués de l’Institut. Il semblait très tendu et elle avait l’air furieux. Elle voulait un rendez-vous immédiat pour régler un problème urgent. Jérôme venait d’avoir été surpris à la sortie d’un commerce avec un objet dans sa poche… Un vol ! Nadia put rendre compte à Marie et à Caroline qui terminaient toutes les deux un rendez-vous.
Marie pris la direction des opérations. Jérôme, je crois que, dans un tel contexte, et puisque les corrections précédentes n’ont pas suffisamment porté leurs fruits, nous allons devoir passer à un stade supérieur. Vous allez être très sévèrement puni, par Caroline, par votre maman et pour finir par moi. Vous serez puni devant tout le monde, y compris devant Nadia, notre nouvelle collaboratrice.
Jérôme n’en menait pas large. Et l’idée d’être ainsi puni et humilié devant une jolie jeune fille d’à peu près son âge ajoutait à l’embarras. Mais il ne voyait pas comment s’en sortir autrement qu’en faisant profil bas : oui Madame
Prenant place au centre de la pièce prévue pour les punitions, Marie pris la direction des opérations. S’adressant à la maman de Jérôme : Madame, je pense que c’est à vous, d’abord, d’administrer une bonne fessée à votre fils. Installez-vous sur cette chaise et surtout n’ayez aucune compassion pour ce voleur. Elle avait utilisé à dessein ce terme, approprié pour la circonstance, pour mettre d’emblée le curseur le plus haut possible.
Manifestement la mère de Jérôme avait progressé en quelques semaines. D’un simple signe de la main, elle intima à Jérôme de baisser son pantalon, puis de prendre la position adaptée en travers de genoux. Jérôme, impressionné par l’ambiance et par tous ces regards posés sur lui n’envisageant même pas la moindre contestation. Jamais on ne l’avait vu aussi docile. Trois ou quatre claques sur le caleçon, puis il se retrouva très vite cul nu. La main de sa mère était manifestement devenue efficace, leste. La puissance était décuplée par la rage d’avoir un fils qui se comportait aussi mal. La punition fut longue et intense. Les fesses mais aussi la parie haute des cuisses devinrent vite uniformément rouges. Les coups tombaient à toute vitesse, ne laissant pas à Jérôme le temps de chercher à les éviter. Caroline, intérieurement, se disait qu’elle pourrait presque embaucher cette nouvelle fesseuse si adroite !
Lorsque l’orage fut passé, Jérôme fut prié de se relever et de se placer au centre de la pièce. Il sentait le regard incrédule de Nadia sur lui. Nadia en effet stupéfaite, presque gênée devant ce grand garçon nu, le sexe pendant et les fesses cramoisies devant elle. Marie reprit la direction de la séance.
- Placez-vous en appui sur le cheval d’arçon, le dos bien cambré. Nous allons maintenant passer aux choses sérieuses. Nadia, voulez-vous donner à Caroline le gros martinet avec le manche rouge, s’il vous plaît !
Nadia sursauta, surprise de cette mise à contribution, certes modeste mais qui l’impliquait pour la première fois. Elle prit l’objet désigné avec crainte, comme si elle craignait pour ses propres fesses. Les lanières étaient fines et probablement cinglantes. Marie se saisit du martinet et dès le premier coup Jérôme eu l’impression que la douleur, que la morsure se répandait à travers tout son corps. Cette fois encore le rythme de la fessée était rapide et à chaque fois que Jérôme tentait un pas de côté, les lanières lui cinglaient les cuisses encore plus douloureusement. Sur ses fesses déjà rougies par la fessée administrée par sa mère, l’effet était dévastateur. Il se mit à pleurer, à supplier… En vain. Nadia instinctivement s’était reculée pour observer. Elle était partagée entre la pitié pour ce pauvre garçon et l’approbation de la punition au regard de la faute commise. Un vol. Et elle avait compris, autant que Jérôme, que la correction n’était pas terminée.
En effet, Marie demanda alors à Nadia de lui donner la canne en rotin. Elle avait l’air terrible ! Elle l’était, au regard des longues traces qu’elle dessinait sur le postérieur pourtant déjà très marqué de Jérôme. Ce dernier avait à peine eu le temps de souffler et de passer ses mains sur son derrière brûlant : Vous allez recevoir 20 coups de canne. Vous allez les compter et après chaque coup prononcer la phrase suivante : je suis un sale petit voleur. Je promets de ne plus recommencer. Et je vous déconseille de ne pas vous tromper. Au milieu des pleurs, chacun cru distinguer un vague oui madame.
Recevoir 20 coups de canne est en soit une punition sévère. Recevoir la canne après les deux sérieuses fessées déjà administrées est une véritable correction. Mais Marie avait décidé de marquer le coup, tant à cause de la récidive que pour tenir compte de la gravité de la faute. Elle pensait qu’après une telle séance, Jérôme n’aurait vraiment plus envie de prendre le risque de revenir. Aussi, elle administra les 20 coups avec sévérité malgré la couleur déjà impressionnante des fesses du jeune homme. Chaque coup de canne laissait une trace qui serait manifestement durable, et durablement douloureuse. A chaque coup, Jérôme hurlait mais prenait soin de réciter fidèlement la phrase imposée. Au vingtième coup, son corps tendu se relâcha d’un seul coup et il se retrouva par terre, pleurant à chaude larme.
Nadia, voulez-vous faire relever ce garnement et le conduire au coin s’il vous plaît. Puis vous allez prendre la règle en bois sur le bureau et vous placer derrière lui. Au premier relâchement, au premier mouvement, vous lui claquez sévèrement les fesses avec la règle. Nadia marqua un mouvement de gêne et dit à mi-voix : Mais, Madame, je ne peux pas… » Nadia, ne discutez pas, s’il vous plaît.
Nadia priait pour que Jérôme ne bouge pas. Elle ne s’imaginait pas alourdir la peine et fesser un peu plus ce derrière déjà très marqué et qu’elle devenait si douloureux. Par bonheur Jérôme était vaincu et ne fit pas un geste pendant le quart d’heure de pénitence imposé, à l’issue duquel, toujours cul nu, il eut à s’excuser auprès de sa mère et à promettre de ne jamais recommencer. Après quoi, il eut le droit de quitter les lieux.
Nadia venait de découvrir la réalité de l’activité de son employeur. Au fond d’elle-même, elle en approuvait le principe, même si elle savait qu’elle aurait du mal à y participer vraiment concrètement. Mais au moment de fermer boutique, Caroline, d’une voix ferme et bienveillante lui dit : Merci Nadia. Nous sommes contentes de vous avoir comme assistante. Mais sachez que, devant une personne qui doit être puni il ne faut jamais montrer la moindre faiblesse au sein de notre équipe. Si vous deviez refuser ainsi d’administrer une fessée alors que nous vous le demandons, sans doute serions-nous obligées de vous fesser à votre tour pour parfaire votre formation…
Une formation réussie
A l’issue de ce premier jour à l’Institut F, Nadia est rentrée chez elle avec en tête des sentiments contradictoires. Elle avait aimé cette ambiance de toute petite entreprise sans poids permanent d’une hiérarchie, elle savait quelle serait confrontée à des tâches multiples comme la facturation ou la comptabilité, l’accueil de la clientèle. Autant de missions qui lui seraient utiles dans le cadre de ses études. Elle qui était une fille rigoureuse, ponctuelle, ordonnée, honnête, elle reconnaissait au fond d’elle-même la logique des prestations proposées dans le cadre de l’Institut à une clientèle somme toute consentante.
Mais quand même ! La fessée ce n’était pas trop son truc. Et puis elle s’imaginait déjà rédiger son indispensable rapport de stage dans lequel elle devrait décrire son job, en détails. Pas évident. En plus, elle n’osait pas en parler autour d’elle : pas avec ses parents, pas avec son petit copain… peut-être quand même avec sa meilleure copine. Comme elle hésitait, c’est justement Perrine, sa copine qui l’appelait pour lui proposer une sortie au cinéma la semaine suivante. Un hasard qui faisait bien les choses. Elle se confia. Sans le savoir, Perrine était bien placée pour la conseiller.
Ecoutes moi. Je ne suis pas du genre à raconter tous mes petits secrets, mais puisque tu m’en parles : Luc, avec lequel je vis depuis maintenant deux ans, avait du mal avec mon caractère un peu volcanique. C’est vrai que je me mets parfois en colère ou que je boude. C’est vrai que je pars parfois en vrille avec la carte bleue. Bref, comme tout le monde j’ai des défauts. Il faut que je te dise que Luc me fesse à chaque fois qu’il le juge nécessaire. Au début j’ai pris ça pour de la v i o l ence et j’étais décidé à le quitter. Puis j’ai vu que cette méthode me calmait, m’aidait à progresser et surtout facilitait l’équilibre de notre relation. Evidemment lorsque je me retrouve coincée sous son bras, cul nu et que mes fesses sont toutes rouges, je crie, je hurle, je pleure… mais à bien y réfléchir c’est une bonne thérapie. Ça va te sembler bizarre, mais maintenant pour moi la fessée est presque un acte d’amour, une déclaration. Tu aurais tort de ne pas tester. Un stage, c’est difficile à trouver, et celui-là peut être riche d’enseignements.
La fessée comme thérapie ! C’était donc possible. Curieuse, Nadia allait donc poursuivre son stage. Et puis Marie et Caroline avaient deux personnalités qui lui plaisaient bien. Justes et rigoureuses, élégantes et ordonnées. Elles devraient bien s’entendre. Pour le rapport de stage on verrait plus tard.
Le lendemain ne fut pourtant pas une journée facile. Le succès de l’Institut F ne se démentait pas. Il y avait un vrai besoin, un vrai marché. Il y avait même pas mal d’habitués qui venaient en coup de vent faire administrer une fessée à un a d o l e s c e n t pas sage ou un mari en manque d’attention afin de ne pas laisser passer la moindre incartade même sans importance. Ce jour-là, les clients se succédèrent à un bon rythme et Nadia fut absorbée dans ses tâches d’accueil, la facturation et l’encaissement. On lui demanda de pointer le relevé de banque et d’aller chez le cordonnier voisin pour lui porter un martinet qui avait un peu souffert. En le tendant au commerçant elle était rouge pivoine face au regard de ce dernier qui pourtant de ne se formalisait pas pour si peu. Dans le quartier tout le monde savait maintenant ce qu’était l’Institut F.
Madame O’Connor était de ces clientes habituées qui passait presque chaque semaine avec un de ses trois grands pour une fessée destinée à sanctionner une mauvaise note à l’école ou un retard à la maison. Pour les fautes plus graves elle prenait rendez-vous, parfois même pour faire rougir le derrière de son mari.
Ce jour-là, c’est Nelly qui se présenta de manière impromptue à l’Institut munie d’un petit mot de sa mère. Elle devait recevoir une fessée en contrepartie d’un désastreux 5 en mathématique. Entre deux rendez-vous Caroline dit à Nadia : Pas le temps pour le moment. Fessez là dans la salle d’attente et renvoyez là chez elle. Nadia était pétrifiée, incapable d’ordonner à cette jeune fille juste un peu plus jeune qu’elle de prendre la position adéquate. Elle lui suggéra de revenir en début d’après-midi. Ce que naturellement Nelly fit avec ponctualité.
Caroline le reçut dans son bureau. Il s’agissait d’une fessée banale et rapide. Mais elle demanda pourtant à Nadia de venir aussi dans le bureau. Cette dernière était perplexe. Pour un cas aussi simple, pourquoi avait-elle besoin de son aide ? Caroline avait pris place sur la chaise au milieu de la pièce. Habituée Nelly prit place, à plat ventre sur les genoux de Caroline qui releva sa jupe, fessa le derrière à peine protégé d’une petite culotte en dentelle noire, puis fit glisser le petit triangle sur les cuisses de la jeune fille pour parachever la coloration des fesses.
Une fessée que d’aucun aurait pu juger sévère mais qui dans l’échelle des sanctions proposées à l’Institut se situait en « entrée de gamme ». Nelly se rhabillait, quand Caroline ajouta : Nadia, lorsque je vous confie une tâche, j’entends qu’elle soit exécutée. Je vous ai demandé de fesser Nelly et vous ne l’avez pas fait. La réputation de notre institut est en jeu et je ne peux le tolérer. Je vais donc vous prier de prendre place sur mes genoux.
Nadia, stupéfaite et gênée d’être ainsi cul nu devant une tierce personne, allait répliquer. Caroline ne lui en laissa pas le temps. Si cela vous ne convient pas, vous êtes en droit d’interrompre ce stage immédiatement. Voilà comment, mécaniquement, Nadia se retrouva couchée sur les cuisses de sa patronne... Voilà comment Nadia se retrouva rapidement les fesses à l’air. La première claque lui sembla terrible. Elle ne l’était pas, mais Nadia était pétrifiée de surprise. Après quelques claques bien appliquées, elle avait l’impression d’avoir les fesses en jeu. C’était surtout psychologique...
Cette fessée avait déclenché quelque chose chez Nadia. Une prise de conscience des bienfaits d’une punition méritée. Un sentiment d’avoir réglé un conflit, la possibilité de tourner la page. Nadia avait compris, d’un seul coup le sens de la mission de l’Institut F. Elle allait pouvoir poursuivre son stage et accéder, sans retenue, au statut de « fesseuse ».
Nadia comprenait vite. Dans un premier temps elle fut chargée des rendez-vous les plus simple : on déculotte, on fesse, on gronde. Elle n’eut aucun mal à s’y faire. Il y avait bien, parfois, des garçons qui essayaient de la séduire, de profiter de son âge pour faire jouer une certaine proximité. Il y avait bien quelques érections intempestives qui se manifestaient lorsqu’elle couchait une « victime » dénudée sur ses jolies cuisses bronzées. Elle n’en avait cure. Elle claquait le derrière un peu plus vigoureusement, de manière un peu plus rythmée et elle savait que l’excitation naturelle allait rapidement céder la place à une douleur chaude et moins propice à la gaudriole. Nadia était ici dans un cadre professionnel et quand bien même elle déculottait un garçon séduisant et bien fait de sa personne, jamais elle n’eut l’idée saugrenue de mêler travail et plaisir. Au contraire, la fessée n’en était que plus sévère.
Nadia put alors apprendre à manier le martinet, à administrer les premiers coups doucement puis à faire monter crescendo le rythme et la dureté des coups, maîtrisant de mieux en mieux l’impact sur les fesses, et parfois sur le haut des cuisses. Elle eut le sentiment de monter en grade le jour ou Caroline lui demanda de venir administrer une punition à un mari volage. Nadia n’aimait pas l’infidélité. Elle avait en face d’elle une femme trompée qui semblait souffrir. Il ne s’agissait pas, par la fessée, de la venger, mais de faire passer au mari l’idée de recommencer.
Malgré une forte différence d’âge elle n’hésitât pas d’abord à le fesser sévèrement à la main, laissant des fesses déjà uniformément rouges, puis à se saisir de la canne en rotin qu’elle n’avait à ce jour jamais utilisée. D’elle-même, elle prit le bras du mari volage pour le placer en bonne position, en appui sur le cheval d’arçon. Les premiers coups de canne furent indulgents. Puis elle indexa la puissance de chaque coup sur la marque laissée à chaque fois sur le derrière qui lui était présenté. Elle s’appliquait alors à former des lignes presque parallèles et bien réparties sur l’ensemble de la surface qui devint vite cramoisie. A chaque coup, le corps entier du puni se cabrait, comme mû par une sorte de décharge. Elle n’en avait cure. Elle avait pour mission d’appliquer vingt coups… elle en appliquerait vingt et un pour punir un pas de côté malencontreux du mari qui voulait éviter la canne.
Après avoir ainsi exécuté parfaitement sa mission elle eut tout le loisir d’examiner le postérieur meurtri de son client placé au coin. Elle n’en ressentit aucun regret, aucun remord. Au contraire c’était plutôt un sentiment de fierté qui l’habitait. Le sentiment d’avoir fait correctement son travail. Le sentiment du devoir accompli.
Le fouet
Depuis que Caroline avait administré une fessée déculottée à sa jeune stagiaire, elle n’eut plus jamais à lui faire de remontrances. Parfois, peut-être un conseil de temps en temps en général pour lui recommander d’être plus sévère. Mais Nadia avait parfaitement intégré ses missions d’assistante y compris pour recevoir et traiter directement clients et clientes.
Après quelques jours et un peu d’expérience, Nadia ne se formalisait plus. Déculotter un grand garçon ou une femme, y compris sensiblement plus âgée qu’elle ne la dérangeait pas. Elle avait compris que sa situation lui donnait une supériorité. Que le regard et le ton de la voix, déterminé et sans concession la plaçait en position de dominer la situation et d’obtenir une soumission presque parfaite.
Elle avait compris qu’une claque ou une série de claques un peu plus appuyées permettait de remettre le client dans de bonnes conditions. Ainsi, lorsqu’elle fessait un client sur ses genoux, elle gardait à portée de main le paddle en cuir, n’hésitant pas à le prendre pour quelques claques plus fortes si le patient venait à témoigner trop directement… de l’impatience. La séance de canne, et les traces rouges qu’elle avait administrées sur le derrière d’un mari volage avait achevé de lui donner confiance et de lui permettre d’affiner ses points de repères pour jauger de la sévérité de telle ou telle punition.
Ainsi, plusieurs fois par jour, Nadia était sollicitée pour fesser un client, pour assister Marie et Caroline pour une sanction plus lourde. Elle était devenue « fesseuse » à part entière et certains clients demandaient à ce que leur dossier soit traité par Nadia. Elle s’était forgé une réputation et une clientèle. On se souvient notamment des déboires et des sanctions qu’il fallait infliger régulièrement à Jérôme. Ce dernier commençait à se discipliner, mais – parfois même à titre préventif – sa mère l’amenait à l’Institut et spécifiquement à Nadia pour une fessée d’entretien comme elle disait. Une certaine complicité était née entre Jérôme et Nadia, complicité qui ne nuisait en rien (peut-être même au contraire) à la sévérité avec laquelle Nadia rougissait son derrière.
Il y avait pourtant plusieurs semaines que Jérôme n’avait été envoyé, pour une punition, à l’Institut. Peut-être était-il devenu parfaitement sage. Mais, chassez le naturel… C’est sa mère qui revint un jour avec l’air soucieux des mauvais jours. Jérôme avait été particulièrement insolent à la maison et à l’école. Bref, il filait un mauvais coton et il importait d’y mettre un terme le plus rapidement possible. Nos trois thér a p e utes et la mère désespérée tinrent conseil : Jérôme avait reçu une correction très dure lors de son récent forfait et il était difficile de le punir plus. Pourtant, le principe de la proportionnalité indexée sur la récidive commandait de trouver une solution visible. C’est Nadia qui eut une idée : Et si on lui donnait le fouet ? Elle n’avait jamais vu que cet instrument soit utilisé ici. En effet, il n’avait jamais été utilisé.
Le fouet est un instrument extrêmement délicat à manier, expliqua Caroline. Je l’ai expérimenté une ou deux fois mais j’ai dû perdre la main. Il faut une précision diabolique car le fouet cingle et mord à la fois. Et il est difficile de le faire tomber à un endroit précis compte tenu de la longueur de la lanière. Or un coup mal porté est un coup qui blesse. Je ne peux prendre ce risque.
En même temps, Nadia, a raison. C’est justement parce que le fouet n’est utilisé que très rarement qu’il est impressionnant et dissuasif. En plus, il convient de mettre le puni tout nu ce qui ajoute à l’humiliation de la punition. Nous devrions réfléchir. Après tout, c’est comme le vélo, fouetter, ça ne s’oublie pas.
Il fut convenu de prendre une décision le lendemain.
Caroline avait réfléchi. C’était une bonne idée de fouetter Jérôme mais elle ne voulait prendre aucun risque sur le maniement de cet instrument diabolique qu’elle n’avait pas utilisé depuis longtemps. Elle avait bien une idée, difficile à exposer…. Nadia, j’ai un service à vous demander. Voilà, c’est un peu délicat, mais au fond c’est vous qui êtes à l’origine de l’idée de fouetter le jeune Jérôme. J’ai besoin de reprendre le fouet en main, d’en maîtriser la longueur. Accepteriez-vous que je vous fouette un peu, évidemment pas avec f o r c e , pas dans un but punitif, mais juste pour me se familiariser avec ce fouet ? Nadia restait sans voix. Marie aussi. Elle n’aurait jamais osé une telle suggestion ! Nadia était partagée. Elle avait peur de ce grand fouet à la lanière tressée dont on lui avait dit qu’il laissait de longues traces rouges sur la peau. En même temps, elle savait que Caroline veillerait à ne pas lui faire mal. Et puis elle aimait beaucoup son job et était très reconnaissante à ses deux directrices de lui avoir fait confiance. Je suis d’accord, murmura-t-elle.
C’est ainsi qu’afin de se mettre totalement dans le contexte, Nadia fut priée de se déshabiller complètement et de se positionner en appui face au mur du bureau. Son corps, fin et élégant était tendu à l’extrême. Nadia essayait de respirer mais guettait avec inquiétude le premier coup. Caroline essayait de mesurer la bonne distance qui devait la séparer de Nadia. C’est ainsi que les deux premières fois, la lanière siffla dans le vide, sans toucher les fesses de la jeune stagiaire.
Le troisième coup atteint son objectif, le haut des fesses. Le coup n’était pas fort du tout, mais malgré cela Nadia ne put retenir un cri et son corps tressaillit. Une petite rougeur venait d’apparaître sur le côté de la fesse. La lanière n’avait pas marqué mais la mèche placée à l’extrémité avait néanmoins un peu mordu la peau tendre. Une morsure qui avait plus provoquée un effet de surprise qu’une véritable douleur. Caroline avait trouvé la bonne distance mais elle voulait prendre un peu plus d’assurance. Aussi fouetta d’elle encore de trois coups le postérieur offert de Nadia. Trois coups à la f o r c e maîtrisée mais qui marquèrent quand même de longues marques rouges les jolies fesses blanches. Trois coups qui firent mal malgré l’attention de Caroline. Nadia suppliait qu’on arrête là l’expérience. Caroline n’avait pas de raison de poursuivre. C’eut été injuste. C’est Marie qui pris la suite des opérations en main et appliquant une crème apaisante sur les fesses de Nadia d’une main douce et agréable.
L’expérience était concluante. Le sort des fesses de Jérôme était scellé. Elles seraient dûment fouettées. Jérôme fut donc convoqué et averti qu’il serait fouetté « devant tout le monde ». A peine arrivé il fut prié de prendre place au milieu du la pièce, de se dévêtir totalement devant sa mère, Marie, Caroline et Nadia. L’ambiance était lourde et Jérôme sentait qu’il allait passer un mauvais moment. A commencer par se mettre complètement nu devant tout cet aréopage. En d’autres circonstances, se savoir nu au milieu de jolies femmes lui aurait convenu. Cette pensée-là ne lui traversa pas l’esprit, en la circonstance.
Caroline prit alors la parole : Vous semblez ne pas avoir vraiment compris que vous n’avez pas le choix que de rentrer dans le rang. Eh bien, croyez-moi vous allez en assumer les conséquences. D’une manière assez solennelle vous allez recevoir le fouet. C’est une punition infligée de manière inhabituelle car le fouet fait mal. C’est le but recherché. Mais conformément aux règles de notre Institut et pour que la punition soit progressive, chacune ici va d’abord vous administrer une bonne fessée. Lorsque nous jugerons que vos fesses sont prêtes, c’est-à-dire suffisamment chaudes, vous recevrez vingt coups de fouet. Veuillez donc prendre place pour une première fessée. Et se tournant vers la maman de Jérôme : Madame, fessez-le sans retenue, n’ayez pas de regrets, ce n’est de toute façon qu’un hors d’œuvre.
Il prit place, sans résister sur les genoux de sa mère et fut fessé en effet sans retenue. Dès la première correction, ses fesses furent d’un rouge soutenu témoignant d’une chaleur déjà assez intense. Nadia fut la seconde à le fesser. Il fallait qu’elle fasse abstraction totale de la nudité totale de Jérôme en contact avec ses cuisses. Mais dès les premières claques, la conscience professionnelle prit le dessus et elle lui administra une courte mais solide fessée d’une quinzaine de claques, d’une main ferme et leste à la fois. Passant ensuite successivement sur les genoux de Caroline puis de Marie, Jérôme comprit vite qu’il aurait du mal à s’asseoir pendant quelques jours. Ses fesses le brûlaient, le haut de ses cuisses plus encore. Il commençait à redouter sérieusement la séance de fouet qui allait suivre ! Il n’avait pas tort.
Après quatre fessées déculottées administrées successivement sans pause, on imagine la chaleur du postérieur… et sa couleur déjà très vive. Luc n’avait pas eu, depuis longtemps, ce sentiment d’avoir presque au sens propre le derrière en feu. Et pourtant, ce n’était qu’un début ! Caroline prit en effet la direction des opérations. Debout face au mur, les mains en appui le buste droit, les jambes légèrement écartées. Je vous déconseille de bouger d’un pouce. Les conséquences pour vous pourraient être beaucoup plus douloureuses. Pour chaque coup, je veux vous entendre compter et ajouter à haute et intelligible voix un merci madame sincère. Et d’un coup de règle en bois sur le mollet gauche elle lui fit remettre sa jambe en position initiale : il ne devait vraiment pas bouger.
Caroline était concentrée. Lui aussi. En fait, tout le monde l’était, acteurs comme spectateurs. On aurait entendu voler une mouche. Le sifflement de la lanière tressée du fouet n’en fut que plus distinct. Le cri de Luc n’en fut que plus strident. Une longue traînée rouge marquait toute la largeur des deux fesses, juste en haut. Luc cru recevoir une décharge électrique et son corps se cabra tout entier. Mais, la concentration aidant il reprit rapidement sa position et articula du mieux possible un, merci madame. Entre chaque coup, Caroline laissait à Luc le temps de reprendre ses esprits et de souffler. Elle était là pour le punir, pas pour le t o r t u r e r. Elle visait aussi à chaque fois un endroit différent sur la partie charnue : il fallait bien répartir la douleur et ne pas toucher le dos : trop douloureux.
Au quatrième coup, Luc se mit à pleurer sans retenue, mais sans supplier. Il savait que la punition irait jusqu’au bout. Intérieurement il se promit de ne plus jamais mériter de revenir à l’Institut. A la fin de la punition, le derrière de Luc était dans un état terrible, strié de longues lignes « d’un rouge vif » ton sur ton avec des fesses déjà très rouges. Une punition hors norme. Après une telle raclée, aller au coin fut presque un moment agréable. Il soufflait, il pleurait mais cela lui faisait du bien. Nadia était chargée de le surveiller. Il aimait bien Nadia. Elle était jolie et bienveillante. Il avait juste honte d’être là, tout nu, dans cet état si humiliant devant elle. Alors qu’il allait prendre appui sur le mur pour, épuisé par la correction, il reçut un tout petit coup de règle sur une fesse. Nadia, avait juste voulut lui éviter pire et avait simplement effleuré la peau. Pourtant, Il eut vraiment mal et cela lui permit de deviner l’état de son postérieur. Un quart d’heure après, c’est en remontant slip et pantalon qu’il comprit sa douleur… Elle allait durer plusieurs jours.
Diplômes
L’Institut F fonctionnait à merveille. Les clients et clientes se bousculaient toute la journée. Il y avait les mères de famille qui avaient besoin d’un renfort d’autorité et qui venaient pour faire fesser leurs grands a d o l e s c e n t s qui tentaient d’échapper à l’autorité parentale. Ces cas étaient sans doute les plus nombreux et les plus faciles à régler. Une bonne fessée déculottée ou quelques coups de martinet bien appliqués sur les fesses et les cuisses et le jeune garçon ou la jeune fille n’y revenait pas deux fois. Non seulement à cause de la douleur de la fessée mais aussi de ce sentiment d’humiliation à se retrouver dénudé et dans cette position inconfortable.
Il y avait aussi les couples qui venaient essayer de résoudre des conflits de vie communes. Là aussi la fessée pouvait se révéler terriblement efficace. Elle évitait tellement de bouderies, d’engueulades durables, de rancœur. Une paire de fesses bien rougie valait tellement mieux qu’une litanie de reproches interminable. Et puis il y avait tous ces cas clients qui étaient autant de cas particuliers qu’il fallait traiter au cas par cas avec beaucoup de psychologie. Décidément la fessée n’était pas un acte de b r u t a l i t é , mais bien un acte réfléchi, pensé, mesuré. La fessée n’était pas juste une série de coups portés sur un derrière mais une attitude, un regard, une voix, une ambiance. On ne s’improvise pas fesseuse sans préparation.
En quelques semaines Nadia avait appris beaucoup, non seulement sur la manière de donner une fessée, de déculotter un garnement, de manier le martinet mais aussi sur la façon d’en imposer au premier regard et d’être considérée comme une fesseuse de premier ordre. Les deux fondatrices de l’Institut n’hésitaient jamais à lui confier des clients qui étaient tous très satisfaits de la prestation. Car toute la difficulté consiste, dans ce job, à se faire craindre par la densité et la sévérité de la fessée administrée et en même temps de se faire aimer pour exactement les mêmes raisons. Pas facile.
C’est à l’aune de la coexistence de ces deux sentiments assez contradictoires qu’on pouvait juger du talent de Nadia. Certains clients ne juraient plus que par elle. Ainsi, depuis le début de la semaine, Nadia recevait chaque jour à 16H30 précises un grand ado de 18 ans, Fred, auquel sa mère avait imposé un cycle de deux semaines. Deux semaines pendant lesquelles Fred devait se présenter chaque jour du lundi au vendredi pour y recevoir une fessée. Une fessée toute simple, de quelques minutes, administrée avec la main. Mais une bonne fessée sonore et claquante, évidemment déculottée.
Si celle du lundi était moins douloureuse, celle du vendredi faisait très sensiblement plus mal compte tenu de son application sur un postérieur de plus en plus sollicité et meurtri. La maman de Fred était convaincue qu’à ce rythme, les bulletins scolaires hebdomadaires de son fils atteindraient enfin un niveau compatible avec l’objectif proche d’un baccalauréat. Nadia fessait donc chaque jour, avec sévérité et fermeté, le derrière de Fred. Cela n’avait empêché en rien de se nouer une empathie mutuelle sincère. Cela ne l’avait pas empêché, et sans doute même cela l’avait-il favorisé.
La demande allant crescendo, Caroline et Marie réfléchissaient donc aux perspectives de développement de l’activité. Le premier point était de « titulariser » Nadia dont le stage arrivait à échéance. Mais cela ne suffirait pas. Il faudrait ouvrir d’autres Instituts, former d’autres responsables. C’est ce sujet de la formation à un métier qu’on n’enseignait nulle part qui préoccupait nos deux entrepreneuses.
A y réfléchir, une candidate devait déjà présenter des caractéristiques précises. Il fallait un sens naturel de la rigueur et de la discipline et l’envie de partager ces valeurs autour de soi. Il fallait savoir être sévère et juste, dure mais mesurée. Bref, une candidate devait être quelqu’un d’équilibré. Il fallait ensuite que le cycle de formation permette d’acquérir de l’expérience. Il fallait acquérir une certaine assurance pour déculotter d’une main sûre un client, pour le mettre d’une main ferme en position, pour baisser sans hésiter un slip ou une culotte. Il fallait dès la première claque montrer de la détermination. Une fessée s’administrant par essence cul nu, il fallait aussi faire évoluer le rapport à la nudité, la banaliser, la considérer comme un contexte naturel et indispensable.
Marie et Caroline avait aussi pu mesurer l’évolution plus rapide de Nadia après qu’elle eut été elle-même été fessée alors qu’elle avait refusé, au début du stage, d’exécuter une mission. Manifestement le fait de s’être retrouvée déculottée et punie, en quelque sorte en situation et à la place du client, avait eu un effet très positif. Après cette punition, Nadia avait pu relativiser les choses et mieux comprendre le contexte. Plus récemment, Nadia avait aussi été amenée à se dévêtir complètement et à recevoir le fouet. Manifestement cela avait participé à sa formation. A la lumière de ces éléments, sans doute faudrait-il inscrire l’obligation de passer soi-même par la case fessée avant d’obtenir un diplôme de fesseuse.
Formation, diplôme… voilà ce qu’avaient en tête Caroline et Marie en amont du processus de développement. Puisqu’il n’existait pas d’école de la fessée pour former leurs futures collaboratrices, il fallait qu’elles l’imaginent elles-mêmes. Un véritable cursus de formation (un cycle court) avec des matières clairement identifiées :
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La discipline et les sanctions appropriées pour la faire régner (cour magistral)
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Les conditions d’application d’une fessée – position, tenue, durée, sévérité (cour magistral
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L’art d’administrer une fessée – Travaux pratiques
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L’utilisation proportionnée d’accessoires (martinet, fouet, canne, paddle) – Travaux pratiques)
Il fut donc convenu de consacrer un jour par semaine au lancement de ce centre de formation. La tâche allait sans doute être ardue, car il faudrait sélectionner en amont celles qui seraient jugées dignes de suivre le cursus et celles qui pensaient que donner une fessée était un acte banal et facile à exécuter et qui n’avait aucune chance d’obtenir un diplôme qui devait sanctionner une haute exigence. En y réfléchissant bien Caroline eut une idée lumineuse. Chacun se souvient de Marie Thérèse, femme d’une cinquantaine d’années, très vive et dynamique et qui, après avoir été une épouse et une mère énergique et stricte, venait maintenant régulièrement à l’Institut se faire corriger lorsqu’elle estimait elle-même le mériter. Une démarche pour le moins originale mais qui témoignait d’une perception très positive de la fessée « thér a p e utique » et utile. Ayant connu la fessée pour l’avoir souvent administrée mais aussi souvent reçue, Marie Thérèse pourrait être une instructrice hors pair, sévère et pédagogue, sans qu’il soit besoin de la former elle-même.
En consultant le cahier des réservations, Marie put se rendre compte que, par chance, Marie Thérèse avait justement pris rendez-vous pour le lendemain en début de journée. Elle avait spécifié en prenant le rendez-vous qu’il faudrait lui consacrer un peu plus de temps que pour une simple fessée. Cela tombait parfaitement bien. Marie prit donc le parti de recevoir sa cliente sans rien lui dire afin de l’écouter et de lui fournir d’abord la prestation attendue. La demande de Marie-Thérèse était comme souvent surprenante (sauf pour l’équipe de l’Institut F que plus grand-chose ne pouvait dorénavant surprendre). Je suis veuve et donc célibataire depuis maintenant trop longtemps et mon âge (la cinquantaine) je sens que le désir m’habite toujours.
Des rêves inconvenants recommencent à peupler mes nuits et parfois je me surprends moi-même à les compléter par des gestes inappropriés. Marie ne put s’empêcher de sourire devant tant de mots choisis, de rigueur morale, mais aussi de lucidité. Il faut vraiment que je fasse le vide dans mon esprit pour faire passer ces mauvaises pensées. Une sérieuse correction me semble appropriée. Si ce soir je me couche avec difficulté sur le dos, je passerai sans doute une nuit plus calme. Et toujours directive : Que pensez-vous du martinet ?
Cette dernière remarque, formulée comme une question sans l’être réellement fit immédiatement réagir Marie qui voulait reprendre la main. Ce n’est pas à vous d’en juger. Je vais immédiatement vous punir pour que vous retrouviez une morale convenable. Et je jugerai moi-même des moyens appropriés pour y parvenir. Vous allez immédiatement ôter votre jupe et, selon la règle de la maison, je vais d’abord vous fesser. C’est sans tarder que Marie-Thérèse fût couchée sur les genoux de Marie, sa culotte à mi-cuisse, ses fesses encore fermes et rondes offertes à la main leste de sa punitrice.
Une vingtaine de claques plus tard, et quelques premières rougeurs, Marie Thérèse fut placée debout devant le bureau, les mains posées à plat, le derrière cambré. Une position que cette femme élégante et d’expérience assumait parfaitement. Sauf qu’au lieu de sentir le bouquet de lanières du martinet auquel elle s’attendait, c’est le claquement sec et fort d’une baguette rigide en cuir qui lui zébra le postérieur. C’est une cravache que Marie avait saisie pour punir sa cliente du jour. Et pour lui montrer que c’est elle qui commandait, elle ne ménageât pas sa peine : les coups tombaient à bon rythme, forts, laissant à chaque fois sur les fesses une marque rouge droite et probablement durable. Le corps tout entier de Marie Thérèse tressaillait mais elle tenait bon, ne cherchant jamais à se dérober.
Les fesses bien rouges, le regard humide, Marie-Thérèse s’apprêtait à rejoindre docilement le coin selon la règle parfaitement assimilée.
Non, redressez, vous restez debout devant le bureau, les mains derrière le dos. J’ai à vous parler. Et c’est dans cette position, et dans cette tenue peu académique, que se déroula son entretien d’embauche. Un entretien dont on devine aisément l’issue. Marie-Thérèse était enthousiaste à l’idée de créer la première école de fessée en France.
Mais ça c’est une autre histoire.
Paul
Une véritable école de la fessée en France, voilà une merveilleuse idée !!! |
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